Née d’une mère d’origine italienne et d’un père arabe, Jeanne Benameur arrive en France, du côté de l’Atlantique, à l’âge de cinq ans. En parallèle avec des études de lettres elle s’intéresse à la philosophie, ainsi qu’à l’histoire de l’art, pratique le théâtre au conservatoire ainsi que le chant.
La lecture et la peinture sont aujourd’hui ses compagnes de route.
Depuis 2000, elle a quitté l’éducation nationale pour se consacrer pleinement à l’écriture.
Quelques livres récents et cités dans l’entretien :
L’Enfant qui, Actes Sud, 2017
Ceux qui partent, Actes Sud, 2019
Notre nom est une île, Bruno Doucey, coll. “Embrasures”, 2011
Il y a un fleuve, Editions Bruno Doucey, coll. « Embrasures », juillet 2012
De bronze et de souffle, nos cœurs, Bruno Doucey, coll. « Passage des arts », 2014
La Géographie absente, Bruno Doucey, 2017
L’exil n’a pas d’ombre, Bruno Doucey, 2019